J’ai de nombreuses fois relevé le caractère enfantin des publications de Cap’em.
A les lire, je me rappelle une ancienne publicité où pour échapper aux reproches de sa mère un gamin accusait, Maurice, son poisson rouge d’avoir avalé la tablette de chocolat.
Bernard Le Meur qui a œuvré avec nous pour le bien de la commune mais qui n’a jamais voulu nous transmettre depuis son transfert chez Cap’em, ses idées géniales, connaissait l’obligation de tout conseiller municipal de tenir un bureau de vote. Il connaissait aussi les sanctions qui s’appliquent dans le cas d’absence sans motif.
La sanction est tombée et le reste est du blablabla.
Après avoir rendu responsables de leurs deux défaites électorales, les Émerainvillois, qui n’ont rien compris à leur programme génial. Après avoir perdu tous leurs procès, sans doute à cause de l’incompétence des juges, c’est la justice elle-même qui est aujourd’hui condamnée par le propriétaire de Maurice.
« La justice n’est décidément pas la même pour tous ».
Ce nouveau slogan de Cap’em implique que la mairie possède un certain nombre de passe droits ou que les juges puissent s’acheter.
Bernard Le Meur de sa maison de campagne serait donc victime du système mais l’enfant qui écrit ne précise pas s’il s’agit d’un système mafieux ou totalitaire.
L’article se termine par : « C’est une honte » et par un post d’une adhérente Cap’em qui soutenant Bernard affirme qu’il y a des « C… » partout, ce qui n’est pas poli, pas respectueux des juges et même dangereux pour elle.
Cap’em a été le premier groupe à recourir à la justice et à accuser le monde entier de ses propres turpitudes.
Nous assistons à la scène de l’arroseur arrosé.