Ce matin, après la Covid, la guerre en Ukraine, la réforme des retraites, les médias ont trouvé un nouveau thème pour continuer à nous remonter le moral : le manque d’eau.
Après la mort par le réchauffement climatique voici la mort par déshydratation.
1 .Pour la Covid nous eûmes droit à des discours de sommités médicales dont la spécialisation se termine en « logue », une tartine de commissions Théodule, de hautes instances « machin truc », qui permettent de comprendre où passe en pure perte, notre fric.Conclusion rien ne va dans notre système de santé et nous gérons la pénurie.
2. La guerre en Ukraine a pris le dessus avec le risque d’attaques nucléaires, la destruction de la planète et de l’homo sapiens dans son ensemble. Nous avons donc eu droit à un défilé de militaires, puis de membres de nos services de contre-espionnage et enfin de nos politologues, journalisteulogues qui ne connaissent pas grand-chose mais occupent la scène médiatique. Il faut faire de l’audimat.
Conclusion rien ne va dans notre armée et dans celle de l’Europe. Nous dépendons des américains qui nous prennent pour des tocards, incapables de nous défendre et décident sans notre avis comme ils le firent avec les peaux rouges au 19ème siècle. Géronimo revient.
Il est vrai que le Français, qui se situe majoritairement à droite, a été dès son plus jeune âge entre les mains de professeurs de gauche, dans une éducation nationale gérée par des syndicats de gauche et les fausses bonnes idées de gauche ont beaucoup de mal à disparaître de sa pensée profonde. L’amour du drapeau, de la Patrie, de la Marseillaise n’étaient pas au programme et certains de nos instituteurs (à Emerainville aussi) refusaient d’apprendre notre hymne national à nos enfants.
Il existe encore chez nous un parti communiste qui continue à se dire démocratique alors qu’il a adoré Staline et jamais fait amende honorable, jamais dénoncé les exactions du petit père des peuples et dont les critiques contre Poutine sont des plus minces.
Comment peut-on tenter d’imposer en France un régime qui a eu des effets catastrophiques dans tous les pays qui l’ont essayé. La Pologne, la Hongrie… veulent-ils revenir au communisme ? De qui se moque-t-on pour chercher à nous imposer ce fléau de l’histoire du XXème siècle qui a fait plus de morts dans le monde que les guerres hitlériennes ?
3. La grippe : cette maladie va faire des morts et des morts compte tenu de l’état de nos hôpitaux, de la fatigue de notre personnel de santé. L’état n’a prévu aucune prime alors que les « gripologues » commencent à envahir les antennes.
4. Tout cela est insuffisant pour nos pisse-copies, et une nouvelle plaie nous attend : le manque d’eau. Il n’a pas plu assez et les Français en juillet mourront de soif dans des souffrances horribles (on dirait du Huleux).
Nous attendons avec impatience la création d’un très haut comité à l’eau dirigé évidemment par des « waterlogues » ou des « eaueulogues » qui viendront pendant des heures discourir sur l’état de la nappe phréatique.
Français on ne se lave plus les mains, une douche tous les mois maximum, on fait ses besoins naturels sur le trottoir à charge pour les mairies d’organiser le ramassage, pour les dents lavage des dents du haut les jours pairs et de celle du bas les jours impairs etc.
5. Enfin, l’inflation nous étouffe et là aussi des millions de morts sont à craindre en raison d’une sous-alimentation. Nos « inflatiologues » vont sans doute réclamer une prime pour acheter des carottes, des choux de la viande du saucisson…
Cette peur de la mort, est d’ailleurs la raison pour laquelle les hôtels dans les stations de skis sont pleins à craquer, les Français désirant avant de trépasser passer une ou deux semaines de vacances à la neige, le bon air nourrissant.
À ces peurs presque ancestrales, récapitulées ci-dessus, il manque aussi les huit à dix évènements provenant de l’univers qui peuvent à tout moment anéantir notre espèce comme ce fut le cas pour les dinosaures il y a, à peine 66 millions d’années.
Alors il faudrait peut-être que les médias nous lâchent la grappe, et qu’ils fassent ressortir aussi les progrès économiques, sociaux réalisés depuis un siècle. Il n’est pas interdit de voir l’autre côté du miroir et les avancées gigantesques qui ont eu lieu.
Une personne née en 1900 a connu la diligence, puis la voiture, puis l’avion, puis la fusée, elle a pu assister au voyage sur la lune. Elle a travaillé 10 h par jour, sans vacances, et aujourd’hui nous travaillons 35 h la semaine, avec 5 à 6 semaines de vacances. Elle a connu la grippe espagnole 400 000 morts en France, la grippe asiatique (1956 à 1958) 100 000 morts en France, les sècheresses 1920/1922-1945/46-1949/50, la durée de vie était dans les années 60 de 66,70 années pour les hommes et de 73,60 pour les femmes, alors qu’aujourd’hui les nouveaux chiffres sont : 79,30 pour les hommes 85,30 pour les femmes.
Il faut cesser de pleurer sur notre sort, car tous les évènements ci-dessus ont été supportés, dans un pays qui se faisait respecter, par un peuple fier des Français qui savait d’où il venait et où il voulait aller, ce qui ne semble plus être le cas actuellement car l’intérêt individuel a pris le pas sur l’intérêt collectif et l’assistanat sur le travail.