Je n’ai jamais considéré le conseil municipal comme une tribune politique, mais comme une assemblée devant prendre des décisions pour la gestion de la commune.
A ce jour, je désire faire le point sur mes « déboires » juridiques avec Cap’em.
À la suite du premier tract de Cap’em en ouverture de campagne, j’ai porté plainte pour diffamation, mais n’étant pas un spécialiste du droit pénal, j’ai été débouté non pas sur le fond, mais pour prescription des faits.
J’ai fait l’objet d’une plainte diligentée par Mme Stocker, pour non-respect de la loi Covid sur les ventes à emporter. Mme Stocker a depuis retiré sa plainte pour des raisons que j’ignore, (plainte sans doute vouée à l’échec).
Mme Quinion m’a à son tour attaqué en diffamation et j’ai été acquitté très récemment.
De tous ces procès, il reste à ce jour, deux affaires qui me concernent :
Ces deux affaires terminées, je souhaite que la lutte juridique cesse et soit remplacée, par des échanges d’idées, par des contre-propositions, le tout dans l’intérêt de la commune.
Mais avec Cap’em, ces souhaits resteront vains.
Jean Luc Bitbol