Sur le site de CAP’END, nous pouvons pratiquer nous aussi des anglicismes, M. Quinion s’insurge de voir M. Huleux boire un verre avec moi lors de l’apéro-pizza organisée par Emerainville au Cœur.
Nous ne considérons pas les élections comme une guerre civile dans laquelle tous les coups sont permis. Nous n’éprouvons pas de haine, ni de rancœur envers M. Huleux qui ne fait que défendre des idées politiques qui ne sont pas les nôtres mais qui sont respectables. Il n’a jamais trahi personne et nous trouvons en plus ce reproche déplacé, quand on sait qu’entre CAP’END et les verts ont eu lieu des conversations secrètes pour une fusion des deux listes.
Devons-nous en déduire que les discussions publiques sont interdites ou inadmissibles moralement, mais que les pourparlers secrets, avec des buts politiques entre deux listes qui n’ont rien de commun et qui désirent leurrer l’électeur et satisfaire les egos de ses premiers de liste sont recommandés ?
En cas de victoire des verts (comme de CAP’END), les résultats des élections seraient catastrophiques pour notre commune. Ainsi et par exemple, le programme sur la sécurité des verts est plus qu’inquiétant et les compétences des LR en matière de finances angoissantes. Nous regrettons, que lors de cette réunion, les observateurs envoyés par CAP’END se soient dissimulés et se soient uniquement bornés à prendre des photos pour tenter de créer encore une fois une polémique.Réunion secrète, espionnage à distance, absence permanente, notamment lors de la pandémie, et des problèmes générés par les deux entrées scolaires successives, CAP’END ressemble plus à un service de contre-espionnage qu’à une liste politique dont le but devrait être le bonheur des électeurs et non pas la promotion sociale de ses membres.
Post-scriptum : la seconde rentrée scolaire, c’est passé admirablement, les services de la mairie, ce sont adaptés aux nouvelles règles imposées par une administration centrale et des comités supérieurs Théodule en folie.
Les élus d’Émerainville au Cœur ont été sur la brèche, notamment pour résoudre le problème du mercredi qui a été réglé au mieux des intérêts des enfants.
Nous regrettons encore une fois, l’inexistence de nos deux adversaires, dans ce domaine d’une importance considérable.