Groslay, commune du Val-d’Oise, fait face aux mêmes problèmes qu’Émerainville : certains élus et certaines personnes dans le public ne veulent plus respecter la loi et le règlement du conseil municipal.
Bientôt les conseils municipaux deviendront des zones de non droit.
Il y a nécessairement du Cap’em là-dessous, et ce groupuscule révolutionnaire, va nous donner les raisons qui ont poussé sa nouvelle section du 95 à oublier comme il le fit dans le 77, la loi.
Le maire de Groslay commune de plus de 8 000 habitants a suspendu le conseil municipal à cause des membres du public qui prenaient la parole sans autorisation, (on ne sait pas s’ils étaient de la famille des élus).
Ce maire est un véritable dictateur et devrait être condamné aux travaux forcés à « perpette » surtout si les perturbateurs veulent défendre leur papa ou leur maman. La loi c’est bon pour la majorité mais pas pour l’opposition et puis, il faut un peu de respect pour la famille, NON ?
J’avais raison lorsque je dénonçais à Émerainville ces pratiques punissables qui ne datent pas d’hier mais qui sont nouvelles dans notre ville.