La fête du l’Aïd qui a eu lieu dans des conditions normales au Clos, sans doute grâce à mon interdiction de tout rassemblement ne respectant ni le règlement sanitaire ni la loi française, a démontré une fois de plus que CAP’EM tentait d’augmenter son pouvoir de nuisance communale sans se soucier de nos lois et en encourageant le communautarisme, le séparatisme, voire la guerre de religion.
Heureusement les religieux m’ont donné raison et je leur en sais gré.
Comme d’habitude je fus taxé de racisme, d’anti musulman, et voué aux gémonies par des anciens du Clos qui n’habitent plus la commune mais continuent à voter à Emerainville (un peu comme chez CAP’EM, l’ancien chef de notre PM).
Sans faire ressortir l’attitude inexcusable de notre opposition, qui sans doute ne connaît des trois religions du Livre que ce qu’elle a appris au catéchisme, je me suis replongé dans l’une de mes passions : l’histoire des religions.
Je passe sur la nature du CORAN, qui est soit créé soit incréé, selon les époques, sur le voile qui protège l’homme comme la femme de l’épreuve, pour en arriver au Djihad, « le combat » en français qui comporte deux stades :
-le djihad mineur ou extérieur, qui conduit au martyr ;
-le djihad majeur motivé par la foi pure et la quête radical de Dieu.
Ainsi d’après un hadith le prophète aurait dit :
« Le vrai combattant sur le chemin de Dieu est celui qui lutte contre son égo. «
Quinion a du mouron à se faire.
Quant au racisme, je laisse mes accusateurs se documenter sur ce terme qui ne représente plus rien depuis que la science a prouvé que nous descendions tous du singe.
Alain Kelyor