L’EDF a augmenté de 36 % de 2007 à 2020. Les taxes représentent 37% du coût facturé (avec TVA sur les taxes, ce qui est fiscalement un comble).
Le gaz augmentera de 10 % en juillet 2021.
L’essence (le SP 95) était à 1,253 € le litre en mai 2020, elle est à 1,524 € en mai 2021.
Les millièmes d’euro n’existant pas comment peuvent-ils les facturer ? J’ai déjà posé la question de nombreuses fois à des personnalités politiques différentes sans obtenir de réponse.
Quelqu’un peut-il me répondre enfin ? Quelle est la valeur légale du 0,001 € ?
Le prix des timbres a été augmenté de 10 % dès janvier 2021.
Le prix des péages autoroutiers vont sans doute augmenter…
Et nous n’en resterons pas là.
Pendant ce temps, l’État diminue ses dotations aux communes et augmente leurs tâches par tous les moyens. Il ne tient pas ses promesses et le montant de la taxe d’habitation qui devait être compensée à l’euro près, ne l’est pas grâce à un tour de passe-passe.
Les allocations familiales semblent prendre le même chemin.
Des textes nouveaux tentent de diminuer les compétences des communes pour les attribuer aux comités d’agglomération qui n’en veulent pas.
Tout n’est que textes nouveaux, obligations supplémentaires.
La « paperasserie » dépasse l’entendement ce qui freine les actions. L’État resserre sa pression et met au point un certain nombre de mesures que les villes devront à plus ou moins long terme financer seules.
On se croirait en URSS au temps du communisme triomphant.
Attention, la rentrée risque d’être chaude, ce qui creusera encore nos déficits et augmentera la note que nous devrons bien finir par payer soit avec nos impôts, soit par une réduction de l’assistanat ou des services à la population.
La question principale est : où passe l’argent ? Où et comment est-il dilapidé ? Pour quelles raisons la cour des comptes n’a-t-elle aucun pouvoir sauf celui de dénoncer les abus, les erreurs ?