Les tribunes politiques figurant sur le dernier Lien illustrent mes propos sur la qualité de nos oppositions.
Travaux élevés non concertés : Cap’em, comme d’habitude ne justifie rien. Quels sont les travaux concernés ?
Pour les travaux élevés il existe une commission d’appel d’offres à laquelle Cap’em participe de temps en temps. Il n’existe pas de travaux importants non concertés.
Terrains de tennis impraticables par mauvais temps : nous croyons savoir que le tennis se pratique uniquement par beau temps et nous n’avons pas les moyens financiers de construire des courts de tennis couverts d’autant plus que le seul club existant refuse de s’occuper des jeunes et comporte moins de 30 adhérents.
Par contre, si Cap’em daignait examiner le budget 2023, il constaterait que la remise en l’état des cours est prévue et que nous attendons pour des raisons financières les subventions demandées au département.
Location de Guy Drut : il a été dit et répété que ces locations n’auront aucune incidence sur le temps imparti aux associations pour pratiquer leur sport. Combien de fois faut-il le proclamer pour que Cap’em comprenne ?
Une Idée : et si les capémistes se renseignaient auprès des clubs utilisateurs !
Espaces verts et haies totalement négligés : M. QUINION sait fort bien que la mairie a passé un marché avec une entreprise privée et que cette dernière intervient selon un calendrier précis. Sa dernière intervention programmée date de fin juin et n’a absolument rien à voir avec les élucubrations de Cap’em qui ose parfois écrire que nos réalisations dépendent de ses critiques et qui joue ainsi la mouche du coche.
Pas de contrat de maintenance pour les deux petites aires de jeux à Malnoue et au Clos : faux. Le contrat de maintenance existe et comporte un passage mensuel.
Démocratie approximative : on aimerait avoir la définition d’une démocratie approximative avec des exemples concrets. Une démocratie est basée sur la confrontation des idées.
Or, la position de M. QUINION vis-à-vis du Maire est parfaitement ambiguë. Un jour il refuse de lui parler et ne le reconnait pas comme maire (raisonnement enfantin et anti-démocratique) tandis qu’un autre jour, il daigne lui adresser la parole, mais refuse les lettres que la mairie lui envoie chez lui, en recommandé.
Une leçon de droit civil, administratif et constitutionnel s’impose.
Lutte pour obtenir des rendez-vous : Cap’em a perdu les élections, et n’a donc aucun ordre à donner au personnel municipal. Cap’em ne peut pas lui imposer des rendez-vous et ne peut pas envahir les bureaux sans prévenir de sa venue. Le personnel communal comme les élus majoritaires a des activités et un emploi du temps.
Pour les élus et comme ils ne sont pas tous retraités, les réunions ne peuvent avoir lieu que le soir, seules les commissions municipales sont programmées en journée car le personnel y participe.
Sur 6 élus Cap’em, trois sont à la retraite ( 50 % et ce groupuscule ose nous traiter de vieux) et peuvent, sans doute, prendre des rendez-vous en journée.
Bruit aérodrome : la commune étant en négociation avec tous les intervenants, les élus majoritaires ont pensé qu’une manifestation contre Aéroports de Paris, contre les clubs d’avionneurs, n’était pas le meilleur moyen d’avancer.
Par contre, nous félicitons Cap’em qui a réussi à noyauter l’ARALE et en faire une association anti mairie. Malheureusement ce n’est pas non plus le meilleur moyen d’avancer.
Laicité : nous avons déjà répondu à cette critique. La nomination du représentant laïcité de la commune est du ressort de notre centre de gestion.
Cap’em devrait lire nos réponses ou en cas d’incompréhension nous demander des explications.
Composteurs : il n’existe aucune obligation pour la commune (réponse déjà faite à Cap’em). Chaque habitant peut s’en procurer un en téléphonant au SIETREM.
Locaux Malnoue : la Gascogne et l’ancien poste de police municipale sont en vente ou en location nous attendons le client.
2. Pour les verts :
Rien à répondre. Ils ont disparu de la commune, l’un s’occupant de la Région dans laquelle il représente le département 78, (?) l’autre étant aux abonnés absents.
Et puis M. HULEUX a certainement beaucoup à faire pour tenter d’excuser les émeutiers. Il est coincé entre l’intérêt de son parti dont les électeurs proviennent des quartiers difficiles et qu’il faut bien « soutenir » sous peine de débâcle électorale et les dommages que ces mêmes électeurs causent au pays.