CAP’EM et ses aficionados se déchaînent mais toujours sur les mêmes thèmes ce qui devrait en bonne logique lasser une grande partie de sa dizaine de lecteurs.
Depuis trois ans ce groupe ne cesse de nous rabâcher les mêmes contrevérités.
Depuis trois ans ce groupe se moque de l’intérêt de la ville, mais recherche les erreurs qui peuvent permettre de cracher sur les majoritaires, et de préférence en y mêlant le personnel municipal.
Combien de temps faudra-t-il à M. QUINION pour accepter sa défaite aux élections ? Combien de temps lui faudra-t-il pour comprendre ce qu’est une opposition, son but, et le travail qu’elle doit accomplir pour justifier son existence ?
Notre équipe a battu en 1995, un socialiste M. MAGAGNOSC, elle a battu en 2001, M. DAURIAC, en 2008 M. DAURIAC (un têtu), et en 2014 un autre socialiste parachuté celui-là : M. IMPELLZZIERI.
En 2014, figuraient, dans notre équipe, M. QUINION, M. LE MEUR, Mme STOCKER et Mme QUINION.
Ils ont travaillé avec nous sans montrer le moindre point de désaccord pendant au moins 5 ans et neuf mois (plus pour ceux qui faisaient déjà parti de notre liste de 2008). Par contre, malgré une bonne formation et un long apprentissage, nous constatons qu’ils n’ont rien compris au fonctionnement d’une mairie et aux attentes des habitants.
Les Émerainvillois se moquent de la haine que peut éprouver, M. QUINION contre les élus majoritaires. Ils veulent que les élus travaillent et tiennent leurs promesses électorales.
Nous sommes obligés de constater qu’à une exception près (1995-2001) les oppositions ont disparu dès l’annonce de leur défaite venant pendant 6 ans seulement aux conseils municipaux pour apparaître sur les photos.
Il en est de même des Verts et de CAP’EM qui existe que par des critiques inutiles mais qui ne travaillent pas les principaux dossiers (PLU, COULÉE VERTE, FINANCES…).