Le tribunal pénal a considéré que le directeur d’un Facebook était responsable de la teneur des articles publiés sur ce média et a condamné en première instance M. Quinion pour diffamation.
Sur le plan juridique l’affaire est close. Sur le plan intellectuel, les articles publiés par les « écrivains de service », et leurs méconnaissances des sujets abordés, ne sont pas condamnables mais ne font que diminuer le nombre de lecteurs et entachent considérablement l’image du chef de publication.
Comment M. Quinion peut-il laisser publier sur son FB des articles non documentés à l’exemple du dernier sur le PLU ?
En l’espèce les rédacteurs ont dû confondre PMU ET PLU tellement les critiques étaient « hors sol ».
Évidemment cette méconnaissance des textes, des procédures, n’empêche pas les ignares de crier au charron, à la dictature…
Cap’em se rapproche de plus en plus de la Nupes et l’affaire est d’autant plus comique que le directeur responsable de la parution a été maire adjoint à l’urbanisme et a participé à l’élaboration en 2011-2012 du PLU ACTUEL. Il doit savoir ce qu’est un PLU ?
Les résultats de ce document seront examinés dans le diagnostic, lequel permettra de le modifier.
L’homme à l’arc-en-ciel ne lit pas les articles avant qu’ils ne figurent sur son FB et ne fait pas profiter de ses connaissances les personnes de sa propre équipe ?
J’espère au moins qu’il a honte du résultat.