Cet adage s’applique en France aux magistrats du parquet et semble, dans un premier temps, avoir été retenu mais en inversant les termes dans les techniques de communication de Cap’em.
Ainsi, chez nos opposants l’écrit paraît libre tandis que la parole n’est même pas serve mais interdite.
Dans les commissions municipales, silence total, aux conseils municipaux, à par une ou deux réflexions et un discours haineux, aucune intervention digne de ce nom depuis juin 2020, aucune réunion publique organisée par Cap’em. Par contre, à l’écrit, les affirmations, les accusations, les dénonciations, les procès, les plaintes au procureur pleuvent.
Évidemment, une seconde analyse toute aussi valable peut conduire à des conclusions différentes, dans la mesure où on peut considérer que l’écrit est serve et obéit à la ligne politique directrice acceptée par l’ensemble du groupe (même si certains d’entre eux constatent qu’ils sont signataires de post qu’ils n’ont jamais écrits). Quant à la parole, elle est totalement libre à condition d’observer le silence total, ce qui est indispensable pour des personnalités ne connaissant pas les dossiers.