Durant mes 4 premiers mandats (1995-2020), la gauche battue mais reine de la rhétorique, de la dialectique  et du bla bla bla en tout genre,  m’a traité de dictateur. Il va de soi que n’importe qui sachant lire le français, peut consulter un dictionnaire et s’apercevoir que dans le cas d’espèce ce terme est stupide et ne correspond pas à la réalité.
En effet un dictateur était chez les romains notamment, un magistrat qui en cas de crise grave était investi  pour un temps déterminé de pouvoirs illimités.
Actuellement, c’est une personne qui après s’être emparée du pouvoir l’exerce sans contrôle. Il est vrai que la gauche de l’époque pensait à ses idoles Staline, Mao, Castro, Pol Pot…
Cinq fois d’affilé les électeurs m’ont donné la majorité municipale et je ne me suis pas élu moi-même tout seul et de mon plein gré.
Nos oppositions devraient se demander les raisons de cette longévité et ne pas crier au scandale, à la falsification, à la triche, à… à…
Ce terme de dictateur n’étant pas sérieusement justifiable, la gauche m’a classé à l’extrême-droite voire pour les plus habiles de ses membres à la droite extrême.
Il est vrai que dès notre arrivée la police municipale a été créée, armée, et la vidéo protection installée. C’était, sans doute, des mesures de droite dans l’esprit des plus bornés.
La Police Municipale est alors devenue dans les écrits de nos opposants, la milice de KELYOR, et  la vidéo, l’outil de Big Brother.
Évidemment une bonne quinzaine d’années plus tard, tous les élus de gauche du Val-Maubuée à l’exception de CHAMPS ont daigné doter leur ville d’une PM et d’un système de caméras.
Nous étions en avance.
Le plus hilarant c’est qu’aujourd’hui les anciens élus de ma liste qui ont trahi leurs amis, leurs valeurs pour quelques deniers, reprennent contre moi, les mêmes idioties et en rajoutent même en m’accusant de torturer les salariés de mairie. Ils  expliquent aux fonctionnaires municipaux malades que c’est de ma faute car ils sont traités comme des chiens.
C’est à pleurer.
De plus, ces nouveaux chevaliers blancs dont la logique n’est pas la force principale, vilipendent la quasi-totalité des chefs de services les traitant de larbins, d’incapables, de petits cadres B…
Ils ont réussi à se mettre la totalité du personnel à dos ce qui naturellement ne joue pas en leur faveur.
Merci à eux !