Les élus de Cap’em nous énervent et nous pensons qu’il y a mieux à faire pour la commune que de dénoncer les âneries qu’ils propagent.
Nous répondons seulement lorsque nous sommes attaqués et la question qui nous taraude est la suivante :
-Doit-on mépriser leurs écrits, sous peine de se voir opposer le « il n’y a pas de fumée sans feu » ou « qui ne dit rien consent » ?
-Doit-on, en attendant que nos opposants se calment, qu’ils aient déversé en pure perte la totalité de leur venin, qu’ils aient lassé leurs lecteurs en publiant des articles bourrés d’erreurs ou de mensonges, répondre le plus succinctement possible en perdant un minimum de temps ?
Doit-on rédiger nos réponses sur un ton badin, ironique, méprisant, sérieux ?
Ainsi, dans la dernière lettre d’information, (lettre qui doit être tirée à dix exemplaires maximum), Cap’em découvre le principe de l’eau chaude et dénonce les liens d’amitiés de Pierre avec Paul, reproche à un élu d’exercer une activité qui lui permet de vivre et donne des renseignements que personne ne demandait sur les sociétés attributaires de marchés communaux.
L’apprenti érudit qui dénonce tous ces scandales reconnaît que tout est légal et donc ?
Et donc quoi ?
Si c’est illégal on dénonce (et ils savent très bien le faire). Si c’est légal et il n’y a rien à écrire sauf pour jeter malhonnêtement le discrédit sur la majorité municipale. Mensonges, contre-vérités, approximations, manipulations… tous les moyens sont bons pour jeter la suspicion sur l’équipe en place.
Les auteurs de ces écrits n’ont manifestement aucune déontologie, aucune morale.