Ce matin, j’ai entendu une interview d’une actuelle ancienne, prochaine ministre secrétaire d’État, qui se glorifiait de ses actions, lesquelles auraient permis d’avoir plus de femmes que d’hommes dans notre nouveau gouvernement.
J’ai toujours ignoré que le sexe pouvait être un critère d’expérience, d’intelligences, d’honnêteté, de compétence etc.
L’égalité, homme-femme est depuis longtemps actée et les femmes peuvent se présenter librement à toutes les élections et être librement désignées par les électeurs (dont la majorité est féminine).
Plutôt que de se réjouir d’un choix, reposant sur le sexe des candidats, il serait sans doute plus efficace de s’occuper de la condition des femmes dans nos banlieues, dans nos cités, dans lesquelles les droits du sexe féminin sont particulièrement oubliés sans que l’État ne s’en occupe spécialement.
Il est vrai, que contrôler, surveiller, pénaliser, l’homme tranquille, le pauvre conducteur, le contribuable lambda est plus aisé et rapporte beaucoup plus au fisc.
Enfin, si le critère de choix est sexuel, à quand, le contingent d’homos, le contingent de transsexuels, le contingent….. Pour quelles raisons ne pas retenir d’autres critères et notamment celui de l’activité professionnelle. Limiter le nombre de hauts fonctionnaires, de professions libérales et augmenter, le nombre de petits commerçants, de petits chefs d’entreprise, permettrait à l’Assemblée nationale d’être composée d’élus (femmes ou hommes) ayant des connaissances de l’économie réelle.